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   Les ouvrages de Pierre Gardeil appartiennent principalement à deux catégories :​​

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- Ceux touchant la philosophie et la théologie

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Quinze regards sur le corps livré
(préface de René Girard, Ad Solem, 1997).

   L’auteur y considère le rapport de la Cène à la Croix. A la lumière de la théorie girardienne, « il en voit cascader mille conséquences, sur l’essence de la Rédemption ou le fondement de l’expérience esthétique, la nature du plaisir ou le principe de la liturgie catholique ».

   Cette réflexion sur le salut précède elle-même une promenade parmi quelques chefs-d’œuvre de la littérature, de la musique ou du cinéma, qu’il éclaire pareillement du flambeau girardien pour en révéler de nouveaux aspects. René Girard, auteur de la préface, parle d’un livre « intimidant de plénitude ».    

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Pierre Gardeil en 1970.png

« Alors le Bon Dieu, c’est fini ? » (Ad Solem, 1999).

   Pierre Gardeil a souhaité, après la parution des Quinze regards sur le Corps Livré, proposer au public non familier de la philosophie un ouvrage plus court et plus abordable qui expose l’essentiel de son message. Il l’a fait sous forme d’une conversation de quatre personnages, Thomas, Irène, Martial et Pierre, ce dernier représentant l’auteur. Nombre de sujets touchant la société ou la vie de l’Eglise y sont également abordés. 

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La Monnaie du Pape (Ad Solem, 2000).

   Essai sur les indulgences. L'auteur propose une approche théologique audacieuse de ce sujet longtemps controversé, presqu'oublié aujourd'hui, sur lequel pourtant les papes Paul VI et Jean-Paul II s'exprimèrent avec profondeur.

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Mon livre de lectures (Ad Solem, 2001). 

   Pierre Gardeil fut professeur de littérature, de philosophie, passionné aussi de musique : il délivre ici la quintessence de ses enthousiasmes et de ses réflexions sur certains chefs-d’œuvre dont il eut souvent à parler : Les Mots de Jean-Paul Sartre, un extrait de Bérénice de Racine, Cosi fan tutte de Mozart, l’Orfeo de Monteverdi, l’air des bijoux du Faust de Gounod, La Règle du jeu de Jean Renoir, La Dolce Vita de Fellini…

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- Des livres de souvenirs

 

Le Feu sans lieu (Kephas, 2004).

   1944 : L’aîné disparu dans un crématoire nazi, un oncle fusillé comme milicien, Pierre n’a rien oublié des grands émois de son enfance. Soixante ans plus tard, il parcourt la Thuringe pour une vaine recherche de feu son frère entre Buchenwald et Dora. La randonnée fournit l’occasion d’un autre voyage, dans l’Astaffort de ses 7 à 12 ans, entre l’église et l’école laïque, les paysans gascons et les réfugiés lorrains, le jansénisme de sa mère et les libertés de « l’Occupation ».

   La fin de ce « récit de voyages », est intérieure, philosophique, et éclairée d’une espérance toute spirituelle.

 

Le Levain de village (préface de Michel Serres) (Kephas, 2008).

   « Le Levain de village écoute aux portes de la petite enfance pour emplir notre panier de mille impressions intactes : entre Hergé et les cures thermales, la religion du sport et celle du mois de Marie, le fournil boulanger, les semences du latin, les incendies du dehors et du dedans… un fragile moi « lève » et s’avance jusqu’à l’orée d’une autre moi vêtue de roses rouges… D’un siècle à l’autre, la vie d’avant n’est pas détruite, elle est changée en une action de grâces qui réjouit le crépuscule du soir. » Préface de Michel Serres.

 

Mon grand-père aussi avait un grand-père (Dialogues, 2010).

   Son dernier livre. Plongée dans les souvenirs de village, de jeunesse, de vie locale en ce qu’elle échappe au temps ; « la campagne est ses façons ». Savoureuse galerie de portraits. Pierre Gardeil s’abandonne à une inspiration plus mauriacienne, plus impressionniste que dans les ouvrages précédents.

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- Autres ouvrages

 

Lot-et-Garonne, terre fertile (Loubatières, 1989 - Commande de la Chambre Économique d’Agen).

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La Mort recommencée (non paru)

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